Cette conception serait le point de départ de la pensée religieuse et se retrouverait chez les sociétés dites primitives. En effet, les premiers peuples avaient coutume d'attibuer une âme aux animaux et aux végétaux. C'est, par exemple, le cas des duides celtes qui donnaient au chêne des propriétés magiques et vénérables ou encore de nombreuses peuplades réparties dans le monde.
Au XIXème siècle, l'animisme fut une source d'inpiration des romantiques, dont l'exaltation de la nature sauvage nourrissait peintures et écris.